Stéphanie Dugas - La clé vers un jardin secret.

J'immortalise les seules images que l'oeil ne voit pas. Regardez donc avec votre âme!

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Devinette #4

Bonne chance à tous!

Devinette :

Je suis une femme. Je peux être considérée comme étouffante. Parfois, j'apparais sous forme d'eau. La plupart du temps, les humains ne m'aiment pas. Ma présence n'est pas positive. Ils font tout pour ne pas m'avoir dans leur vie. Ils me fuient. Pourtant, j'ai le droit d'exister, moi aussi. Certaines personnes sont forcées de s'habituer à ma présence, d'autres savent comment se débarrasser de moi. Ma demeure est vivante. J'ai une soeur que l'on aime autant que moi ; c'est-à-dire pas du tout. Ma nourriture se retrouve à l'intérieur de vous. J'ai oublié mon nom...

Indice supplémentaire :
"Seuls les humains et les animaux peuvent me ressentir."

Bravo à Philippe! La réponse est : tristesse.

Explications : Mon personnage est féminin. La tristesse peut parfois être étouffante. Elle apparaît parfois sous forme d'eau, donc de larmes. Cependant, tu peux être triste sans pleurer. La tristesse n'est pas positive. Les gens recherchent le bonheur, non la tristesse. Sa demeure est vivante, puisque la tristesse est à l'intérieur de nous et nous sommes vivants. Sa soeur est la rage. La tristesse extrême conduit souvent à la rage. Sa nourriture se retrouve à l'intérieur de nous, puisqu'elle se nourrit de nos pensées.

Voilà! Toutes vos réponses étaient bien pensé!

Pour ceux et celles qui s'inquiètent : non, les amis, je ne suis pas triste. Ne vous en faite pas! J'ai simplement cherché pour un mot qui serait davantage un défi pour vous et je trouvais que ce mot me permettait de créer un personnage assez facilement! :) Et je crois avoir relevé le défi! hihi

Merci d'avoir participé!!! 

Devinette #3

Et ça continue! Quelques personnes l'attendaient avec impatience! Merci à ceux qui participent! 

Devinette :

Bonjour tout le monde. Je me présente... J'ai oublié mon nom! Pouvez-vous m'aider? Je suis un homme. Je n'ai pas de yeux, donc je ne peux pas vous en dire plus sur mon physique, mais je peux vous décrire ma personnalité. On me considère souvent comme un être soumit. C'est devenu une habitude pour moi de me laisser marcher sur la tête. On me dit souvent que je suis poussiéreux. La texture et la couleur de mon corps, selon ce que j'entends, peuvent être différentes. J'aime me sentir parfumée et propre. Lorsqu'on me lave, j'aime être bien frotté. Qu'on m'apporte une brosse, pour bien déloger la saleté! Hahaha. Voilà. Je ne sais pas très bien quoi dire de plus sur moi, mais j'aimerai beaucoup me souvenir de mon nom!

Réponse :

La réponse est Tapis. Bravo à Cathy, sur ma page personnelle de Facebook, pour avoir trouvé la réponse en premier! 

Devinette #2

Quelques personnes ont aimé ce jeu! Voici donc la devinette du jour! :)


Devinette :

Ma peau est absente de couleur. Bien que je ne sache pas respirer, je suis vivante. J’aime beaucoup faire rire les gens, parfois même, les émouvoir.  Certaines personnes ne m’aiment pas, d’autres m’ont de besoin dans leur quotidien. Je suis habituée à ce que l’on ne m’écoute pas toujours quand je m’exprime. Avec le temps, j’ai fini par m’y faire.  Dernièrement, je me suis fait plein d’amis qui me ressemblent beaucoup. Cependant, il m’arrive parfois d’être jalouse d’eux. Ce qui me fait garder le moral, c’est que tout le monde évolue toujours. Je suis loin d’être ce que j’étais enfant et je sais que ma vie ne fait que commencer.  
Je n'ai qu'un problème. Je ne me souviens plus de mon nom! Pouvez-vous m'aider?

La réponse est : Télévision.
Bravo encore à Tracy pour avoir été la première à  le trouver! Je crois que je vais sérieusement devoir augmenter le niveau de difficulté! haha :) 

Devinette #1

J’étais en train de travailler sur mes projets quand j’ai eu l’idée de faire un petit jeu avec vous. C’est vraiment simple! Je vais écrire un petit texte et ce texte sera la description d’un objet sous la forme d’un personnage qui parle de lui. Ce sera comme une sorte de devinette! Si vous pensez savoir de quoi il s’agit, vous n’aurez qu’à écrire votre réponse sous cet article dans les commentaires! Après une certaine période de temps ou si je vois que plusieurs personnes ont trouvé la réponse, je modifierais l’article en ajoutant la réponse ainsi que le nom de la première personne à l’avoir trouvée! La réponse peut être n’importe quoi! Par exemple, une chaise, un nuage, une fleur, une émotion, etc. Si je vois que vous aimez ça, j’en ferai d’autres! Il s’agit d’un exercice que j’ai déjà fait dans un de mes cours et je me suis dit que ce serait peut-être agréable de partager ceci avec vous! Bonne chance!
P.-S. J'en ai fais une facile pour débuter, mais si vous aimez ça, le niveau de difficulté augmentera! Les longueurs peuvent varier aussi!  
Stéphanie xox

Voici la devinette :

Je me sens seule. Très seule. Bien que je sois entouré de gens et de membres de ma famille, certains me semblent très distants tandis que les autres semblent constamment chercher ce qu’ils veulent faire dans la vie, puisqu’ils tournent toujours en rond. J’ai peur du noir et c’est pour cette raison que ma lumière demeure toujours allumée. J’aime le silence. Bien que je sois gentille, j’ai un tempérament plutôt explosif, malheureusement. À première vue, je vous semble être une inconnue, mais pourtant, on se voit très souvent. Je peux malheureusement paraître froide à première vue, mais je vous assure que je pourrais vous envelopper d’une grande chaleur! Nos yeux se croisent souvent. Parfois, vous me souriez. Vos confidences me touchent et j’aimerais parfois vous répondre, mais je ne sais pas parler. Certains de vous me visent très souvent et je ne sais pas si je dois en être flattée ou insultée. Ce n’est pas parce que je vous regarde de haut que je suis hautaine, croyez-moi! Comme vous, je ne suis pas immortelle. Ce qui me fait le plus peur, c’est que si un jour je meurs, personne ne s’en rendra compte. Peut-être bien quelques personnes, mais bon. Je sais que je laisserai un grand vide derrière moi, mais non de la façon que je le voudrais.  
Le problème est que je ne me souviens plus de mon nom, vous pouvez m’aider?




La réponse est : Étoile! Bravo, Tracy, sur ma page personnelle de Facebook, pour avoir trouvé la réponse en premier! Pour une raison que j'ignore et que je trouve un peu dommage, certaines personnes n'arrivaient pas à écrire des commentaires ici! Mais bon, ce n'est pas grave!

La réponse est ; étoile. Premièrement, mon personnage est féminin, donc la réponse devait être au féminin : UNE étoile. L'étoile est entourée de voisin qui tourne en rond : les planètes. Les gens VISENT les étoiles et font des voeux en se confiant à elles. Si une étoile disparaît, personne ne s'en rendrait compte, sauf peut-être ceux qui les étudient ou si elle fait partie de votre constellation préférée. Plusieurs personnes ont trouvé soleil, ce qui est très près, puisqu'une étoile est un soleil. Mais pour les raisons que j'ai mentionnées, étoile était le mot recherché!
Merci d'avoir participé! :)



Déjà.

Le temps s’écoule à une vitesse incroyable. On a beau se dire que parfois, on voudrait que le temps passe plus rapidement, mais la vérité est que ça passe déjà trop vite!
Je me souviens de ma première journée universitaire. J’étais inscrite à Shippagan en éducation avec comme majeur le français et une mineure en histoire. Je ne savais pas ce que je pouvais faire d’autre, de toute façon. Bien que je ne la maîtrise pas encore, et que je ne la maîtriserais jamais réellement, la langue française est ce qui m’attire le plus. Je suis une écrivaine, alors c’est tout à fait logique. Je me disais alors que de l’enseigner était le meilleur choix que je pouvais faire. De plus, j’ai toujours été passionnée par l’histoire, l’architecture, etc. Vous comprenez maintenant le choix de ma mineure. Cependant, on peut bien penser que nous marchons sur un chemin droit, mais la vérité est qu’il est parsemé de trou, de courbes, et que parfois, plusieurs voies s’ouvrent devant nos yeux.
Je quittais donc la maison familiale un certain matin d’août 2008. Les larmes ne se tarissaient pas sur mon visage. La petite fille de dix-sept ans que j’étais avait peur de l’inconnu puisqu’elle quittait la sécurité de son cocon pour la toute première fois. Je ne crois pas avoir besoin de vous mentionner qu’elle a survécu. Lorsque j’ai terminé ma première année universitaire, je savais déjà que je choisissais une autre voie que celle de l’éducation. Une professeure m’avait fait comprendre que la voie dans laquelle je me tenais n’était pas pour moi et qu’un autre endroit me conviendrait davantage. Cependant, j’étais trop effrayé pour quitter Shippagan et affronter la grande ville de Moncton. J’ai donc décidé de continuer une année de plus sur ce campus en étant toujours inscrite en éducation, mais en suivant tous les cours de littérature qu’il m’était possible de suivre. J’avais besoin de savoir si j’avais acquis le courage nécessaire pour me détacher complètement de mon village natal, puisque Shippagan n’est qu’à côté. À la fin de cette année-là, je me savais prête.
Après m’être fait dire par une madame qui travaillait à l’université de Shippagan que je n’aurais pas d’avenir si je choisissais cette voie-là, j’étais davantage convaincu d’avoir pris la bonne décision.  J’avais envie de lui prouver à elle, ainsi qu’à tout le monde, que oui, j’avais de l’avenir dans ma nouvelle voie et qu’elle était pour moi! Une fois les papiers signés, mon transfert fut accepté tout de suite. J’étais maintenant inscrite à l’Université de Moncton, campus de Moncton, dans un baccalauréat en spécialisation en études littéraires.
C’est en septembre 2010 que je suis arrivée à Moncton. Et vous savez quoi? Ce que je craignais le plus à cette université s’est produit : je me suis perdue. Eh oui! Pour une petite fille de campagne qui connait davantage le bois derrière sa maison que les villes de sa province, même le campus de Moncton est effrayant! Ce que j’ai fait? J’ai ris de la situation et de moi-même, puisque le tout fut davantage drôle qu’effrayant.
Non, ça n’a pas toujours été facile. La grandeur des lieux, l’adaptation à la vie de ville, la quantité d’élèves, le niveau et difficulté… Tout ça a été des défis à relever, mais je l’ai fait. J’ai tout relevé! Et bizarrement, ce n’était pas assez pour moi. Une fois mon aventure terminée, j’en demandais plus. J’avais terminé mon baccalauréat. J’étais bachelière en spécialisation en études littéraires et ce n’était pas suffisant pour moi. Je me suis assise dans ma faculté et je me suis mise à regarder partout. Je voyais, autour de moi, plein de nouveaux défis. Et c’est à ce moment-là que j’ai décidé de m’inscrire pour une maîtrise. Oui. La petite fille qui avait peur de quitter son village natal venait de prolonger son séjour pour encore deux ans.
J’ai tout de même débuté lentement, parce que j’étais épuisée de la fin de mon bac qui ne fut pas de tout repos. C’est aujourd’hui, en remettant l’avant-dernier projet final de ma maîtrise, que je réalise à quel point tout à passer vite. Je me suis assise au même endroit que je l'avais fait à la fin de mon bac, et j'ai ressenti que l'université n'avait plus rien de plus pour moi.
 La semaine prochaine, je remettrai mon dernier projet. Je quitte définitivement les bancs d’école. Je suis à une thèse de mon diplôme. Une thèse que j’ai offerte à ma grand-mère Dugas en travaillant sur son roman. Je suis à presque deux diplômes de plus que celle que j’étais ce matin de septembre 2008. J’ai surmonté plusieurs de mes craintes et j'ai réussis à relever tous mes défis. 
Oui, le temps passe trop vite. Je n’ai absolument pas vu passer ces dernières années. Parfois, je me sens comme si j’ai rêvé pendant six ans et que je me réveille avec plein de connaissances nouvelles. D’ici un an, qui je sais passera comme du vent, je serai une maître de la littérature.
Bon but maintenant? Prouvez à cette madame de l’université que j’ai un avenir là-dedans et que je vais briller. J’espère que le jour où elle tiendra mon roman ou qu’elle verra ma maison d’édition, qu’elle se souviendra de qui je suis. L’université m’a appris mes forces et mes faiblesses et ma montrée ma voie à suivre, et ça, je considère que c’est le plus bel apprentissage que je pouvais faire.
Je me lève le matin et je me couche le soir en sachant exactement ce que je veux faire pour le reste de mes jours. C’est à moi, maintenant, d’utiliser ce qui me reste de temps pour accomplir mes rêves.

Voulez-vous rêver avec moi? 


P.-S. Mon prochain défi? Publier mon roman! Le dénouement est proche, je le sens! :)

Déception.

Si je vous écris aujourd'hui, ce n'est pas pour parler de mes écrits, mais pour parler de quelque chose qui s'est passé hier soir et qui m'a beaucoup dérangé. Même si cela ne me concerne aucunement, ça me blesse quand même.

Vous savez, les réseaux sociaux sont des portes incroyables pour les artistes. Cela nous permet d'être en contact, 24/7 avec des gens de partout dans le monde. De plus, il est très facile de faire connaître son opinion. Quelques tapotements sur un clavier, on appuie sur envoyé et c'est fait! Nos messages font le tour du monde en quelques secondes! Grâce à tout ça, vous pouvez, présentement, être  en train de lire ce blogue ou encore, de me suivre sur mes autres réseaux sociaux. Si vous le faites, c'est parce que ce que j'écris vous intéresse ou vous êtes tout simplement curieux de me lire. Ce qui me désole réellement, c'est que certaines personnes donnent leurs opinions parfois de façon... méchante? Oui, on a tous le droit d'exprimer nos opinions. Je suis entièrement d'accord avec ça! Les goûts ne se discutent pas. On aime ou on n'aime pas. Et c'est bien comme ça! Certaines personnes n'aimeront jamais ce que j'écris et je le respecte entièrement! Je vais faire face à la critique toute ma vie et c'est bien comme ça! La critique est ce qui permet à chaque artiste de grandir! Il y a cependant une différence entre donner son avis et tenter de détruire une personne, que ce soit intentionnellement ou non.

Comme plusieurs d'entre vous, j'ai suivi le concours La Voix que l'on pouvait écouter sur les ondes de TVA ces dernières semaines. Plusieurs personnes trouvent ce concept ridicule, d’autres l'aiment. Encore une fois, les goûts ne se discutent pas. Pour certaines personnes, ce genre d'émission du dimanche soir est une source de détente après une longue semaine de travail. De plus, c'est agréable de voir des gens faire ce qu'ils aiment et marcher dans un chemin qui les conduira peut-être vers un rêve qu'ils croyaient irréalisable. Hier soir, un jeune garçon de 18 ans a réalisé un de ses rêves après avoir été voté par le public. J'étais très heureuse pour lui! Bien que je n'aime pas beaucoup la musique country, je trouvais que la tonalité de sa voix se démarquait beaucoup des autres participants. Non il n'avait pas la puissance vocale à la Céline Dion, non il n'avait pas la technique vocale de Ginette Reno, mais sa voix est spéciale et à 18 ans, il a toute sa vie pour se perfectionner. Je n'ai pas les connaissances en chant pour pouvoir en juger plus, mais personnellement, j'aimais ce que j'entendais. Mon avis est également qu'il est celui qui avait la voix la plus originale des quatre candidats cette soirée-là. Tout ça, c'est MON opinion et personne n'a le droit de dire que j'ai tort. Comme je n'ai pas le droit de critiquer ceux qui ne l'aiment pas du tout. Cependant, ce que je trouve déplorable, c'est les personnes qui l'ont insulté. Les réseaux sociaux étaient remplis de messages haineux. Je ne veux pas répéter ce qui a été dit à son sujet, mais ça a suffi à complètement me décourager. Pour moi, c'était de la méchanceté gratuite.

C'est facile de se cacher derrière un écran et insulter un jeune de 18 ans. Je peux comprendre que plusieurs personnes ont été déçues. Ça fait partie du JEU. Mais de là à détruire complètement le jeune homme? Il va les lire vos messages haineux et même s'il va tenter de les ignorer, ces messages vont l'atteindre droit au coeur. Gagner de la confiance en soi, c'est un travail de toute une vie. Avoir confiance en soi dans le domaine artistique est encore plus difficile! Les artistes travaillent avec le regard des gens continuellement sur eux. Mais est-ce que ça nous donne le droit de détruire ces personnes? Non. Ce garçon aura un public pour lui, la preuve est qu'il a gagné. Si vous n'aimez pas ce qu'il fait, c'est vos goûts, mais s'il vous plaît, respectez quand même sa personne. C'est un être humain! Il a des sentiments! Mettez-vous dans ses souliers! Comment vous sentiriez-vous si des centaines de personnes sur les réseaux sociaux se mettaient à vous détruire publiquement avec des messages acérés comme des couteaux? Oui, s'inscrire à cette sorte d'émission, c'est accepter de faire face à la critique, mais jamais on ne s'attend à recevoir autant de méchanceté! Il y a une façon de dire les choses, voyons donc! Et si c'était vos enfants qui se faisaient parler ainsi?


La prochaine fois que vous aurez une opinion à dire, réfléchissez à l'impact que vos mots auront. La confiance en soi, c'est une partie de son âme. Si elle est brisée, nous ne sommes plus rien. Le courage de se relever, on ne l'achète pas au Walmart. 

Inspire, expire! Hee-huff!

Les fins de sessions universitaires...

Ce moment de l'année où la fatigue est à son apogée et où le cerveau a mal au coeur par le trop-plein d'informations qu'il doit gérer en même temps. Cette période où le sommeil et le ménage sont des luxes à se payer et où l'humeur est en montagne russe. On a beau se dire que c'est la fin, que bientôt tout sera terminé et qu'on aura enfin droit à une pause bien méritée, mais le chemin pour s'y rendre est souvent parsemé de trous dans lesquels on tombe ou on trébuche par manque de concentration. On finit par remettre des travaux dont la quantité de pages ne se glisse même pas sous la porte du professeur et où, après sa remise, on doute de tous les mots que l'on y a déposés. Parfois, on se fait même demander de tout recommencer. Que nos travaux n'atteignent pas les exigences demandées. On se fait dire que l'on peut faire mieux ou plutôt, que l'on doit faire mieux. Quand, on fond, on y a mis toutes ses forces. C'est à ce moment que l'on regarde le calendrier, puis l'heure sur le cadran et que l'on se dit qu’il s'agit d'une mission impossible. Les nuits d'insomnie commencent. Notre corps passe de mort-vivant à somnambule. Nos veines débordent de caféine sous toute sorte de formes. Les cernes sous nos yeux deviennent des cicatrices de guerre. Manger? Pas le temps! Voyons! Puis, avec tout ça, il y a cette crainte constante que notre outil de travail nous lâche. On devient donc compulsif avec des sauvegardes de nos projets sur quinze clés USB différentes et une trentaine de courriels que l'on s'auto-destine en renfort. Notre historique de navigation déborde de recherche Google et Wikipédia devient notre allié de dernière minute. Nos yeux brûlent, mais l'heure de la sieste est encore loin! Le soleil peut bien se lever, ou se coucher, la notion du temps n'existe plus.Seul la date limite existe. De toute façon, ce n'est pas le temps de dormir, l'inspiration frappe à la porte arrière du cerveau! Voyons... où est-elle cette source qui nous brûle la mémoire? Bon, il va falloir retourner à la bibliothèque. 21h30. En courant, il est possible de s'y rendre avant que les portes ferment! 6h00. Petite sieste entre deux rayons de livres. Café, chocolat, café... Une fois le travail terminé vient le moment de l'imprimer. Quoi? Plus d'encre? Tant pis. Le porte-feuille vidé sur le lit ; la petite monnaie accumulée pendant le semestre sert enfin! Vient ensuite la file d'attente de nos compatriotes devant l'outil de secours après avoir vécu le même parcours que nous. Une fois le chef d'oeuvre ayant prit forme sur leurs toiles blêmes, on le remet pour une première ou une seconde fois. Attention! L'aventure ne se termine pas ici. Il manque le verdict. Cette affreuse lettre et ses variantes qui nous jugent jusqu'au fond de l'âme. L'obsession des sauvegardes se transpose vers le rafraichissement constant de cette page où la récompense finale est souhaitée. Finalement vient le moment de fêter. Pour célébrer ou pour oublier? Reste à voir...

Hahaha! Eh oui! Voici le résumé d'une fin de semestre pour moi! Heureusement, cette fois-ci, il s'agit de ma dernière! Après six ans d'université, me voici rendu à cette étape où je suis en train de vivre mes "dernières fois"! Je crois que ce qui me rend quelque peu nostalgique, c'est ces quelques classes où on se sent comme chez soi. Où l'atmosphère est agréable et chaleureuse. Ça ne m'est pas arrivé très souvent, mais je l'ai quand même vécu. Notamment dans un de mes cours ce semestre-ci.

Ce qu'il y a de beau avec les fins c'est qu'elles représentent toujours un nouveau commencement. Et ce commencement en sera tout un pour moi!

Je retourne à mes projets! Je crois que je vais opter pour une tasse de thé vert. Faudrait que je songe aussi a... Oh! De l'inspiration!


Bon dimanche tout le monde!

Stéphanie


Je suis vivante!

Bonjour à tous!

Oui. Je vous ai négligé. Plus que négligé! Mais! Il y a un mais! Je serais bientôt de retour sur une base régulière!

Je termine l'université dans environ deux à trois semaines! Tout dépendra de la procrastination qui viendra sûrement me tenir compagnie un peu. Je suis en plein sprint de fin de session avec des projets par-dessus la tête, mais c'est la fin! Je suis en train de vivre une "fin de session" pour la dernière fois de ma vie! Ça me fait un peu drôle de quitter le milieu quand tu es dans une institution scolaire depuis environ 19 ans. Il y a des jours où mes activités de petite fille en maternelle me manquent... Les fins de sessions n'étaient pas difficiles à cette époque! Hahaha! Mais, elles apportaient moins de satisfaction personnelle! 

Enfin, bref! Je suis bien heureuse de mon trajet et je suis fière de m'être rendue à la fin de cette maîtrise universitaire. Une fois le mois d'avril terminé, il ne me manquera plus que ma thèse à écrire! J'ai bien hâte! Ce projet sur le roman de ma grand-mère me tient tout particulièrement à coeur.

Pour ce qui est de mon propre roman, j'aurai bientôt de bonnes nouvelles à vous donner! Les choses avancent tranquillement, mais mon intuition est plus que positive sur ce qui s'en vient! Après dix ans de travail, je sens que ça va porter fruit! Et oui, je fais durer le suspense! 

Entre temps, je vous invite à vous abonner au Twitter de mon illustratrice! La publication du roman c'est une chose, mais il y a également une histoire personnelle reliée à la page couverture. Suivez mon amie Josée et entrez dans le monde d'une maman, d'une artiste, mais surtout de ma talentueuse illustratrice! Cliquez sur ces magnifiques mots pour vous diriger vers son Twitter! Elle aura également bientôt une page Facebook! Je ne manquerai pas à l'appel pour vous partager la bonne nouvelle!

À plus tard mes amis!

De votre Stéphanie qui vous promet une présence assidue sur ce blogue à partir des prochains jours! 
Merci d'être toujours là!




Hier soir, je suis allé au Café Archibald avec Josée pour un petit meeting. Vous êtes curieux? Vous devriez! 
Stéphanie Dugas Copyright. Présenté par Blogger.

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